Devant l’incertitude liée à la « guerre tarifaire » avec les États-Unis, 114 employés de l’entreprise Manac perdent leur emploi temporairement.

À l’usine de Saint-Georges, cette mesure touche 99 salariés et à celle de Laurier-Station c’est 15 employés qui seront mis à pied. Manac avait, d’ailleurs, déposé deux avis de licenciement collectif au ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale en juillet. Selon la direction, outre le contexte des tarifs, cette décision est aussi en lien avec un ralentissement du cycle économique et l’incertitude autour du transport de marchandises par camion.