Le coût pour les réparations des bris occasionnés par les gestes de vandalisme représente des sommes non négligeables pour la Ville de Rivière-du-Loup.

À partir du document obtenu par l’entremise de la Loi d’accès à l’information auprès du Service technique et de l’environnement, il est possible de constater que c’est le « temps homme » consacré aux différentes réparations qui monopolise la plus grande partie des déboursés. Par exemple, en 2024, ce sont 191 heures qui ont été nécessaires à la remise en état, et ce, pour un total de 7 258 $. À lui seul, l’enlèvement de graffitis a représenté pour près de 80 heures de travail en 2024.

Les matériaux, tels que le sable et les nettoyants pour graffitis, ainsi que la peinture, le remplacement de fenêtres et des appareils vandalisés représentent 2 395 $, pour un grand total de 9 653 $.

Le nettoyage des murs des blocs sanitaires à l’Office du tourisme et des congrès, au parc des Chutes ainsi qu’au parc des Princes, qui ont été salis, entre autres, par des excréments et de la bouette, de même que la repeinte des surfaces endommagées ont nécessité un peu plus de 45 heures de travail.

Il faut ajouter à ce bilan le temps consacré aux remplacements de fenêtres, d’appareils et équipements brisés, tels que les machines distributrices et les lavabos ainsi qu’au nettoyage de serrures volontairement bouchées.

Au Service des communications de la Ville de Rivière-du-Loup, on nous informe que le bilan pour l’année 2025 sera disponible ultérieurement.